À propos

référentiel de prévention dans l’animation socioculturelle 

Ce site a été développé en 2017 par la FASe – Fondation genevoise pour l’animation socioculturelle.
Il apporte des informations théoriques et thématiques sur le travail de prévention mené dans les quartiers et les communes.

La prévention de la rupture sociale est l’un des éléments essentiels du travail développé par la FASe.

Pour ce faire, les équipes d’animation socioculturelle des quelque 48 centres et 18 équipes de travail social hors murs du canton mènent un travail de fond pour consolider la qualité de vie et la santé de la population. Cette mission s’exerce tout particulièrement à l’égard des enfants et des jeunes.

Dans les centres, ce sont les comités des associations qui donnent les orientations. Un projet institutionnel sert de référence aux actions développées par les équipes. Pour le travail social hors murs, c’est le référentiel opérationnel TSHM qui explicite les fondements de l’action.

Pour mettre en valeur ses actions, la FASe a entrepris une démarche de synthèse et de modélisation de ses pratiques. C’est l’objet de ce site, qui se consulte comme un guide.

Les grands principes de la prévention au sein de la FASe

En proposant aux jeunes des activités de loisirs et de socialisation dans lesquelles chacun et chacune peut apprendre à trouver sa place, la FASe vise notamment à:

  • favoriser une citoyenneté active,
  • limiter les situations d’exclusion, la désinsertion, l’isolement social,
  • lutter contre les discriminations.

Les équipes d’animation en centres ou hors murs sont attentives aux enfants, aux jeunes et aux familles confrontés à des difficultés de tous ordres. Elles observent les situations de personnes vivant un moment de vulnérabilité particulière en termes de:

  • scolarité, formation, emploi, logement, santé,
  • relations sociales ou d’obstacles culturels, sociaux, économiques ou politiques.

L’approche collective dans les quartiers est complétée le cas échéant par des interventions individualisées. Elle prend en compte la globalité des facteurs de protection et de risques, mais peut se décliner selon des thématiques spécifiques par exemple sous l’angle de l’abus de psychotropes, de l’usage excessif ou problématique des nouvelles technologies de l’information.